carignan99 a écrit :
J’étais dans ce schéma. Mais j’ai vite compris l’importance de ne pas trop se poser des questions dans une situation d’urgence et/ou dangereuse : demander pourquoi, se poser trop de questions dans un environnement comme ça, ça mène à des blessures graves ou à des morts.
Un pompier en sait plus que moi. Un médecin aussi. Un adjudant pareil. Ça s’appelle l’expérience, qu’on a simplement pas à 20 ou 30 ans ou même 40 quand on n’est pas du métier.
Sauf qu’un pompier, un médecin, ou tout autre personne qui vous dit ce qui serait le mieux pour vous ne vous connait pas en détail.
Dans notre domaine, ne dit on pas que "Les conseilleurs ne sont pas les payeurs" ?
Pourtant ce sont des professionnels formés, qui pratique au quotidien depuis des années.
Pourquoi remettre en cause les recommandations d’un conseiller bancaire pour votre argent et accepter les yeux fermer les conseils sur un domaine aussi important que la santé ?
Vous êtes quand même en train d’expliquer à quelqu’un qui a/avait 2 maladies incurables (non mortel, mais handicapante au quotidien) que j’aurais du écouter les médecins, subir les crises et me gaver de médicament à vie ?
C’est votre choix.
Personnellement, j’ai préféré changer d’approche, résoudre le problème à la source et zapper la maladie.
D’ailleurs pour la 2nde maladie, c’est le livre d’un médecin réputé (mort depuis d’ailleurs) qui m’ont apporté la solution.
Certes, c’est astreignant, mais au final, ça me force à améliorer ma qualité de vie.
Après, effectivement, c’est une responsabilité individuelle de gérer sa santé.
Il est certes plus simple de mettre la responsabilité sur le collectif comme vous le conseillez, mais est ce finalement la meilleure option ?
Range19 a écrit :
IIIII
S’agissant de votre colique néphrétique : les conséquences de prime abord personnelle d’un refus de soins* ne sont pas strictement personnelles, elles sont collectives lorsque ça finit aux urgences et hospitalisé avec intervention plus complexe. C’est tout sauf rare.
Donc si en refusant les soins, en améliorant ma qualité de vie pour entrer en rémission durable, je fait des économies de médicaments, d’effet secondaire, de suivi médical, j’ai un impact négatif sur les urgences et la collectivité ?
J’aimerais bien détailler ce point de vue.
Ps : histoire d’être clair, j’ai été diagnostique pour la 1ère saleté il y a 20 ans, et je suis en rémission depuis plus de 10 ans. (donc pas de médicament de fonds, ni de crise, d’ailleurs, j’ai viré un de mes médocs de l’époque qui était périmé en 2009…)
Ceci dit, ne pas écouter aveuglément un avis médical n’empêche pas de m’y conformer s’il est cohérent!
Pour le COVID, en l’état actuel, effectivement, limiter les contacts est la seule approche viable.
Donc logiquement et simplement je m’y conforme!
C