zappaty a écrit :
Pour autant. Ni moi ni aucun de tous mes collègues ne venons travailler si nous avons gastro/grippe ou tout autre maladie nous empêchant REELLEMENT d’effectuer nos tâches.
Vous confondez être malade au sens commun du terme, et être malade au sens contagieux du terme.
Etre malade en pouvant travailler et en allant travailler signifie contaminer ses collègues.
Pouvoir travailler ne signifie pas être 100% opérationnel.
Donc en résumé, en allant travailler malade, vous contaminez vos collègues (qui sont malades à leurs tours et peut être plus gravement que vous), donc vous créez de l’absentéisme.
Et en prime vous faite payer votre employeur à taux plein pour une capacité de travail diminué.
Oblible a écrit :
mais bizarrement ceux en CDI tombaient assez souvent malades mais pas les freelances ( ils ne sont pas indemnisés s’ils sont malades ).
Ca me fait penser à une remarque : l’absentéisme est un des 1er critères de mal-être social utilisé.
Donc en disant que ceux qui n’ont pas le choix de subir, le subisse mieux, ça me semble une approche assez originale.
Après comparer freelance et CDI, c’est comme de dire que les chauffeurs français c’est des flemmards, car les polonais, eux, ils peuvent passer 6 mois dans leurs camions à bosser sans rentrer chez eux!
On ne compare pas le même boulot.
Rien qu’être prestataire, même en CDI, est moins stressant qu’être interne au même poste, vous n’avez pas les mêmes attentes internes (du chef, des collègues, etc).
zappaty a écrit :
Il est clair que le covid est la porte ouverte à tous les abus
genre mon ex-patron qui fait payer les inter-contrats par le chômage partiel…
Vu le nombre de salariés en ESN, ça en fait des inter-contrat généreusement payé par l’état…