Pour expliquer la (forte) distribution pour mars, on peut émettre les hypothèses suivantes (qui seront, ou non, confirmées à la prochaine lecture du bulletin trimestriel, ou/et lors de l’AG la semaine prochaine)
- dans le passé, on déjà eu une distribution assez haute pour le mois de mars en 2018: 6.5546€ vs 4.3755€ et 4.3784€ en janvier et février 2018; relisez nos échanges sur la distribution "haute" pour mars 2018 qui pointaient "un mix entre la régularisation sur la distribution de l’intégralité du RAN et une régularisation sur un trop versé fiscal à l’étranger"; la distribution du RAN (que la SdG maintien à moins de 0.01€/part) n’est cependant plus d’actualité.
- pour information, la distribution totale de T1/2022 est de 14.1955€ net/part, à comparer à 12.8221€ en 2021, 13.2984€ en 2020, 13.6966€ en 2019, et 15.3085€ en 2018; Rien de très exceptionnel donc…
- les contrôles des CaC, qui "autorisent" un montant de distribution, selon ce qu’ils examinent au niveau des comptes, sont plus détaillés le dernier mois du trimestre, que les 2 mois précédents. Si une approche prudente a été adoptée pour janvier et février, les contrôles pour mars ont pu permettre de lever certaines incertitudes, et de distribuer plus, rattrapant les distributions plus faibles de janvier ou février;
- il a peut-être été possible de reprendre certaines provisions, car l’un ou l’autre litige en cours aurait pu être soldé; Ceci pourrait concerner le local en Finlande qui a subi en 2020 ou 2021 un sinistre dû à la neige (avec un litige avec l’assureur, si je me souviens bien), ou le local de logistique en Espagne dont le locataire (qui n’a pas respecté d’après la SdG son engagement ferme du bail, et quitté le local) fait parti du groupe (qui avait vendu l’immeuble à la SCPI) d’une des top fortunes espagnoles.
Par contre, ce n’est assurément pas lié à une distribution de plus-value, car les usufruitiers ne reçoivent pas ces distributions de PV, et je connais plusieurs usufruitiers qui ont perçu 6.3278€/part.