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#1 28/04/2023 00h05

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Bonjour,

Investisseur depuis 20 ans dans le non coté sous différentes formes (FCPI, FCPR, Crowdfunding, Investissements en direct), je constate que nous assistons depuis quelques années à la montée en puissance des clubs deals portés par des personnes physiques.

Je trouve que ce modèle ressemble un peu à celui des vendeurs de formations, avec les promoteurs de ces club deals private equity qui en se basant sur des performances passées font espérer de belles performances futures.

Au final le 1er gagnant restera le promoteur du club qui facture:
- un abonnement annuel à son club deal (souvent > 1 000 euros /an)
- un droit d’entrée, des frais de gestion et une commission de performance (en général 20% de la plus values). idem que les plateformes de crowdfunding en equity

Au delà du modèle économique qui me semble particulièrement lucratif pour le promoteur du club deal, ce qui m’interpelle c’est la crédulité des investisseurs qui confient des fonds aux promoteurs de ces clubs deals sans aucune certitude de revoir leurs investissements puisqu’il s’agit pour la plupart d’une activité exercée sans aucun agréement.

Encore une fois, il me semble qu’il y a ici un joli trou dans la raquette de nos autorités de contrôles.

Qu’en pensez vous ?
Utilisez vous ces clubs deals et qu’en pensez vous ?

ps: merci de ne pas citer les promoteurs de ces clubs deals sur cette file

Mots-clés : clud deal, non coté, private equity

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#2 28/04/2023 10h24

Membre (2014)
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Très bon point.

Ce qui me laisse le plus dubitatif c’est le grand écart entre le discours marketing qui dit en gros "venez avec nous, profitez de notre expertise, de notre sélectivité des dossiers" et le discours réglementaire qui mentionne qu’aucun conseil/analyse ne sont prodigués.
ce grand écart est encore plus flagrant quant on regarde la structure de frais qui s’apparente plus à celle d’un fonds de venture que d’une plateforme de crowdfunding.
Je serais surpris que l’AMF n’intervienne  pas (tard) sur ce sujet.

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#3 04/05/2023 22h55

Membre (2017)
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corsaire00, le 28/04/2023 a écrit :

Encore une fois, il me semble qu’il y a ici un joli trou dans la raquette de nos autorités de contrôles.

Qu’en pensez vous ?
Utilisez vous ces clubs deals et qu’en pensez vous ?

Que faudrait-il contrôler au juste ?

S’il y a des gogos volontaires pour confier leurs économies à des "experts" en espérant toucher le jackpot sans se fouler, grand bien leur fasse. La régulation darwinienne, ça marche bien aussi.


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#4 04/05/2023 23h03

Membre (2013)
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Bonjour,

Il s’agit d’une activité de conseil financier avec collecte de fonds auprès des clients pour ensuite les investir.
C’est similaire aux plateformes de Crowdfunding, il n’y a donc aucune raison que cette activité ne soit pas régulée

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#5 05/05/2023 18h24

Membre (2017)
Top 10 Entreprendre
Réputation :   49  

corsaire00, le 04/05/2023 a écrit :

Il s’agit d’une activité de conseil financier avec collecte de fonds auprès des clients pour ensuite les investir.
C’est similaire aux plateformes de Crowdfunding, il n’y a donc aucune raison que cette activité ne soit pas régulée

Les plateformes de crowdfunding organisent la rencontre entre des investisseurs privés et des porteurs de projet, et jouent un rôle de collecteurs de fonds (en plus d’autres rôles, comme celui de représentant de la masse des actionnaires individuels). Elles sont régulées à ce titre sous le statut de prestataire de services d’investissement (PSI).

Certaines jouent un rôle de conseil en investissement financier (CIF) car elles émettent des opinions (conseil) et s’adresse à des projets rassemblant plus de 150 investisseurs. En dessous de ce seuil, les placements sont considérés comme privés et ne tombent pas dans la qualification de placement public.

Les clubs deals ne jouent pas de rôle de collecteur (PSI) et ne traitent, à ma connaissance, des opérations de taille supérieure à 150 participants. Ils fonctionnent comme des clubs d’investissement.


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#6 06/05/2023 10h06

Membre (2014)
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La plupart des plateformes de crowdfunding opèrent avec le statut de CIP ( conseil en investissement participatif), à ma connaissance il n’y a que Wiseed qui opère avec le statut de PSI. Par ailleurs une même structure ne peut cumuler les statuts CIP et CIF.

Dernière modification par spot (06/05/2023 10h07)

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#7 05/06/2023 15h40

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Petite passe d’armes sur LinkedIn autour du Club Deal d’Anthony Bourbon Blast[.]club, avec plusieurs figures de la FinTech françaises dans les commentaires (ex-COO de Shine, DG de Wiseed notamment).

Ce qu’il faut retenir :
1. Le Club Deal de Monsieur Bourbon semble avoir quelques problèmes de recrutement et sa communication se fait de plus en plus agressive.
2. Pour le retail, les niveaux de frais sont très largement excessifs si l’on cumule l’abonnement au Club Deal, les frais d’entrée, de gestion, etc…
3. Avoir un Discord public est désormais une manière sérieuse et fiable de communiquer avec sa communauté :p

Pour m’être inscris sur les newsletters de Caption (qui propose depuis peu des Club Deals sur des actifs exotiques), je constate que la communication agressive semble être plutôt la norme sur ce genre de montages…


Parrain : IB, Shine et American Express (par MP)

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#8 05/06/2023 17h53

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INTJ

Je peux vous rejoindre (ou rejoindre ce qui est dit dans le fil linkedin) sur les frais élevés, avec un carried interest de 20% sans hurdle rate.

Mais qui est commun à ce que l’on trouve sur les clubs deals ou aux alternatives pour des deals hors crowdfunding auxquels le particulier a moyen d’ accéder.

Par contre, pour avoir mis un petit ticket pour voir et diversifier en PE, sur une part marginale de mon patrimoine, chez Blast apres avoir regardé ailleurs par le passé :

- Blast est largement plus sérieux dans la présentation des dossiers (BP, pactes d’actionnaires négociés), et son fondateur fait preuve dans les échanges de sensiblement plus d’honnêteté intellectuelle que ce que j’avais pu voir dans un autres club deal similaire.

- La difficulté à vendre les places, je n’y crois pas. La dernier drop, tout était est parti en une heure…

- Contrairement à des discords d’autres clubs deals où ça vole très bas, parfois d’ailleurs avec le fondateur lui-même très loin de contribuer à remonter la moyenne (ex : pour ne pas le nommer, un club se disant spécialisé dans les start up de la Silicon Valley), il y a pas mal de gens pointus sur le discord membre (en tout cas sur sa partie privée) de Blast.

Membres dont la plume ne deparaillerait aucunement sur ce forum et recevraient probablement pas mal de +1…

Les échanges y sont donc intelletuellement relativement stimulants.

Dernière modification par julien (05/06/2023 18h18)

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#9 04/07/2024 22h17

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Etonnement, on apprend aujourd’hui que Blast est déjà à vendre, après seulement 18 mois d’activité, que ses fondateurs valorise l’entreprise 150M€, et qu’ils cèdent 20% pour 30M€… aux membres qui font eux-mêmes le CA grâce aux étages de frais qui s’accumulent.

Toujours le monde avait déjà vu les redflags, et on peut pas dire que ça va en s’améliorant…

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[+2]    #10 05/07/2024 17h32

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Oui ça sent la recherche de cash out par les fondateurs, avant que le modèle ne s’effondre de lui-même.

Pour ceux qui s’intéressent à cette affaire, Benjamin Charles a publié il y a quelques jours une enquête très détaillée


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#11 05/07/2024 18h18

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Le procès qui est fait à Blast sur les fees est plutôt injuste je trouve car il compare torchons et serviettes.
A mon sens et pour en être membre de la première heure, Blast est bien plus qu’une simple plateforme d’investissement.
Une grande partie de la valeur vient également du club en lui-même, de ses évènements et des contenus qui sont partagés en interne.
Le retour sur investissement n’est donc pas lié uniquement aux exit futures, mais aussi à toutes les interactions, rencontres et apprentissages réalisés au sein même de Blast.
Lors e ces événements, j’ai croisé pas mal de membres qui ne souhaitaient même pas forcément investir l’ensemble de leur allocation annuelle et qui justifiaient avant tout le coût de leur membership par l’apport du club lui même.
Blast est donc à mon sens évidemment un produit parfaitement unique, croisement entre club d’entrepreneurs, club d’affaires et plateforme d’investissements, résultant dans une valeur ajoutée unique justifiant un business modèle à long terme basé sur un ARR solide.


L'union fait la force !

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[+2]    #12 05/07/2024 19h11

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Merci Politok d’avoir partagé le lien, ce que je n’osais pas trop faire, mais ce n’est pas un mystère que c’est moi qui ai écrit l’article.

Investisseur55 a écrit :

Le procès qui est fait à Blast sur les fees est plutôt injuste je trouve car il compare torchons et serviettes.

Je me permets néanmoins de répondre à ça, et notamment sur le fait qu’il n’y a pas de procès, mais une analyse.
La communication de Blast s’articule exclusivement autour des deals et de la performance, à des niveaux qui, au passage et même si je ne l’ai pas évoqué, dépassent très très largement les cadres réglementaires et notamment la position 2023-05 de l’AMF sur le financement participatif et ses communications commerciales.

A aucun moment Blast n’est vendu comme un Rotary Club ou un truc du genre, mais comme un club d’investisseurs.
Ce type de club existe déjà, et possède effectivement un abonnement, de quelques centaines à quelques milliers d’euros.
Donc oui, c’est cohérent.

Sauf que…
Les clubs d’investisseurs n’ajoutent pas des frais de structuration, de levées et encore moins du carried sur les deals. Le principe de ces clubs c’est plutôt de réunir des investisseurs dans un même tour, à titre individuel, mais ensemble.

Blast a clairement pris le partie de prendre tous les fees qui existaient (abonnement, collecte, structuration, facturation aux entreprises, carried) pour les mettre ensemble… et sur les plus gros niveaux qui existent à chaque fois.

Il me semble que la ration de plus de 30% entre le CA et le montant levé parle de lui même, alors qu’aucun autre acteur majeur, ni en France ni à l’étranger ne dépasse 15%, et que ça oscille entre 8 et 12% dans la majorité du temps.

Par ailleurs puisqu’il est question de justifier le business model, et donc le BP, précisons ici (puisque ce n’est pas fait dans la newsletter) que la forte progression du CA de Blast, et donc les dividendes promis aux associés… ne sont pas du tout compatible avec le modèle réglementaire de Blast.

De la même façon que Blast n’a pas le droit de collecter des fonds pour sa propre levée, pour d’évidents conflits d’intérêts, le PSFP ne permet pas de prendre du carried. Cela découle directement de l’article 8 du règlement européen sur le crowdfunding, qui a donné le PSFP en France, au suejt des conflits d’intérêts. De manière générale, l’action de préférence pour faire du carried est parfaitement proscrite.
Ce qui a, au moins une fois, été autorisé par l’AMF était une rémunération de la présidence de la holding en cas de surperformance, mais avec un vote majoritaire des actionnaires. Ce qui, évidemment, exclut les modèles où les fondateurs ont confisqué les droits de votes à plus de 50% statutairement.

Pourtant, et contrairement ce que vous dites, c’est bien le carried qui explose dans les années à venir selon les BP de Blast, et non "l’ARR solide" que vous évoquez.

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[+1]    #13 06/07/2024 14h38

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Politok, le 05/07/2024 a écrit :

Oui ça sent la recherche de cash out par les fondateurs, avant que le modèle ne s’effondre de lui-même.

Pour ceux qui s’intéressent à cette affaire, Benjamin Charles a publié il y a quelques jours une enquête très détaillée

Sacré article !

On pouvait critiquer l’ancien monde, où Bill Ackman en son temps affichait son regard de bellâtre chez Bloomberg, CNN et consorts pour faire indirectement la publicité de son fonds.

À l’époque, on trouvait horrible les habituels 2% + 20% de frais des hedge funds ou autres fonds de private equity.

Finalement, je comprends en lisant votre article qu’il y a une sorte d’ubérisation de ce type de fonds, où des Rastignacs du private equity peuvent capter la dumb money des péquenauds Z avec du marketing 3.NeuNeu et autres émissions de TV fantasmés !

Zero Bullshit a écrit :

Blast

L’abonnement : 1’000 à 10’000€ / an ;
Les frais de structuration : 3 à 5% sur la collecte, en fonction de l’abonnement ;
Les frais de gestion : 1% / an / véhicule dans la limite de 5 ans ;
Une commission de performance (carried) : 20% de la plus-value.

Dios mío!

Cela ferait presque passer Bricks pour la quintessence de la gouvernance et de la bienveillance vis-à-vis du pigeon retail ! Ou les maisons de gestion les plus voraces des SCPI pour des sœurs Marie-Thérèse ou petits chaperons rouges !

La blague, c’est que les professionnels, confrontés à la concurrence des ETF et à des décotes de + en + grandes de leurs fonds, on finit par réduire leur frais de gestion.

Dans le cas de Pershing Square on est maintenant à 1,5% + 16%. Et certains fonds fermés UK qui se rapprochent maintenant des 0,5% de frais pour une gestion active avec un univers d’investissement global et un petit effet de levier.

Le particulier a donc potentiellement accès à des produits avec de - en - de frais, et de + en + proches des placements pour les "riches".

Pour autant, les pièges à pigeon semblent pulluler et avec de beaux succès financiers pour les émetteurs, et la bienveillance de l’AMF (tandis que pour investir dans PSH il faut remplir des questionnaires sur la couleur du string de son épouse et la variation de la valeur d’une option put en dehors de la monnaie si le marché perd 10% mais avec une volatilité qui monte de 20% sur la même période).

Quel monde, quel monde, quel monde !

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#14 06/07/2024 14h45

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@IH : je ne vous raconte pas la rentabilité des produits structurés, le particulier se fait plumer à l’entrée, pendant la durée de vie du produit et à la sortie.


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[+4]    #15 09/07/2024 16h08

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Puisque ce n’est jamais bien d’avoir un seul son de cloche, vous mentionnez le post de Benjamin Charles sur Blast.
Un prof d’histoire au collège qui m’a marqué m’a appris que ce n’est rarement le bon choix très d’être totalement manichéen.

Nous avions donc déjà la face pile de la pièce "enquête à charge."

Nous avons aujourd’hui l’article de Charlie Perreau, journaliste sérieuse des Echos, que l’on peut donc supposer relativement impartiale et ayant fait un vrai boulot de jounaliste :
=Post linkedin de Charlie Perreau avec lien vers article Les Echos sur Blast
Voila donc la tranche de notre pièce.

Et enfin, le post d’Anthony Bourdon, que l’on peut voir comme droit de réponse de Blast, et donc le côté face de la pièce.
Post d’Anthony Bourbon faisant office de droit de réponse de Blast

Lisez bien les 3 versions, tout est instructif.
Et il y a un membre de notre forum que vous ne verrez probablement plus du même oeil. Moi, on me l’avait déjà dit, et certains vont peut-être considérer que ça n’a rien à voir avec le sujet. Mais je pense que ça risque quand même de faire bizarre à ceux qui ont un système de valeurs similaire au mien.

Les frais de Blast sont certes relativement élevés, c’est vrai. Mais tout ce qui était pointé dans le post initial n’était pas vrai non plus…
Du côté des membres Blast, en pratique c’est un melting pot digne de l’assemblée nationale. Puisque cela va du jeune débutant attiré par le marketing qui croit un peu trop Noël en plaçant ses 10 000 € de patrimoine à 100% en start-up au multi-millionnaire pointu en finance, dont la réussite entrepreneuriale fait envie, qui lui comprend très bien les tenants et aboutissants de ce qu’il est en train de faire avec Blast.

À mon sens, contrairement à un Bricks où on pouvait juger au départ, la réponse définitive sur Blast ne pourra intervenir que dans quelques années, selon s’il y a des exits/multiples intéressants ou pas, et si ceux-ci compensent les frais initiaux ou pas. Ce qui conditionnera aussi l’évolution de la valorisation de la start-up Blast en elle-même.

Dernière modification par julien (09/07/2024 16h35)

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#16 09/07/2024 18h26

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Merci à vous d’avoir posté ces autres visions de ce dossier car il n’est jamais bon de n’avoir qu’une seule vision des choses et encore plus quand celle-ci est partielle comme on peut le voir.

Étant fortement impliqué dans le Blast Club depuis le tout premier jour, je n’avais pas voulu relancer car je n’étais pas neutre et donc pas impartial, et dans tous les cas nous n’aurions pas pu tomber d’accord j’ai l’impression.
Mais étant en première ligne pour payer tous ces frais, et dont absolument aucun n’est caché, je parle forcément en toute connaissance de causes, et je ne les trouve absolument pas excessifs à mon niveau et comme j’ai pu l’expliquer précédemment.


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