Nous avons d’une part les constructions qui ne cessent de pousser comme des champignons d’autre part, les contrats d’expat sont de plus en plus précaire et terminés abruptement. Quand on vous annonce votre licenciement ici, il vous reste 3 semaines pour faire vos bagages…
Cela s’inscrit dans une tendance de fond de remettre le peuple émirien au travail (naître rentier n’incite pas forcément au dépassement de soit), et de leur faire prendre les postes à haute valeur ajoutée qu’ils sont pour l’instant obligé de payer une petite fortune à des étrangers. Les esclaves la main d’oeuvre peu qualifié restera en masse, mais ces gens vivent soit chez leur employeur, soit s’entassent dans des pseudo bidon ville ( avec des mur en dur quand même mais clim optionnelle).
Concrètement je le vois avec le nombre d’élève dans mon lycée français, les effectifs sont à la baisse, surtout pour la part franco-française (environ 35% d’élèves qui tend vers 25)
De plus l’état commence à abolir certaines règles très favorable aux émiriens comme le gel (en intérêt et en capital) d’un crédit immobilier sur un bien vide qui ne trouve pas de locataire. On imagine bien l’impact de résilience extrême que cela a pu provoquer par le passé.
Enfin, les entreprises coupent dans les dépenses, tous les contrat d’expat ont une "allowance", et généralement les employés se moquent de négocier leur loyer tant qu’il est couvert par leur "package", mais devant la baisse des prix, les entreprises ont pris le train en marche et se montrent moins généreuse, obligeant les gens à négocier leur loyer ou a déménager pour moins bien.
Encore une fois, tout ce que je dis la est valable pour Abu Dhabi, la situation est légèrement différente à Dubai, mais vous avez les grandes tendances de fond. Les loyers sont moins cher à Dubai, ce qui mets une pression baissière sur Abu Dhabi.
Dernière modification par yannou77 (30/08/2020 17h11)