Devenir actionnaire d'une société non cotée : modalités et difficultés

Cette discussion porte sur les modalités d'acquisition d'actions dans des sociétés non cotées, en prenant pour exemples Cigusto et Michel Augustin. Les membres cherchent à comprendre comment investir dans ce type d'entreprise et les difficultés rencontrées.

Un participant soulève la question de savoir comment devenir actionnaire de sociétés à actions simplifiées (SAS). Un autre membre suggère de contacter directement les dirigeants de ces entreprises pour connaître les conditions d'acquisition d'actions, soulignant l'existence fréquente de pactes d'actionnaires qui régissent l'arrivée de nouveaux associés. Ceci met en lumière la difficulté d'accès à ce type d'investissement pour les particuliers.

La discussion aborde la différence entre les Sociétés Anonymes (SA) et les SAS concernant l'ouverture au public. Il est précisé que les actions d'une SAS ne sont généralement pas accessibles au grand public, contrairement à celles d'une SA. Ce point met l'accent sur un aspect réglementaire important à prendre en compte lors de la recherche d'investissement dans des sociétés non cotées.

Pour le cas spécifique de Michel Augustin (dont Danone détient 95% du capital), un participant propose d'acheter des actions Danone pour détenir indirectement une part de Michel Augustin. Il suggère également, plus généralement, de contacter directement les actionnaires existants pour explorer la possibilité d'un investissement, soulignant toutefois l'incertitude d'un tel procédé. Cette proposition illustre une stratégie alternative, mais non garantie.

En résumé, cette discussion met en évidence les contraintes liées à l'investissement dans des sociétés non cotées, soulignant la nécessité d'une approche directe et personnalisée pour chaque entreprise ciblée. La gestion du risque et la compréhension du cadre juridique apparaissent comme des aspects clés à considérer.