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#26 15/01/2023 19h03
- InvestisseurHeureux
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“INTJ”
julien a écrit :
Golf : j’ai trouvé un truc à la fois hyper challengeant, et qui est chronophage donc m’occupe.
Je ne suis pas surpris, cela fait plusieurs fois que j’entends des témoignages en ce sens : une fois qu’on a accroché au golf, c’est un "bouffe-temps" inlassable et passionnant.
Et vous pouvez même passer des séjours à l’étranger pour jouer au golf : dans le sud du Portugal notamment.
julien a écrit :
Je vais au badminton 3 à 4 soirs par semaines (au lieu de 2 soirs avant). Et je reste parfois un peu après avec le petit groupe qui prolonge au club-house, alors qu’avant je ne le faisais jamais car crevé et "école le lendemain".
Quand je parlais des inconvénients à voyager une partie de l’année (cf. ma présentation), vous avez justement le fait de NE PAS pouvoir faire ce type d’activités associatives, qui facilitent et participent à un "enracinement" local.
Pour un I, comme pour un E, le sport (ou autre) associatif c’est vraiment un moyen facile et sympa de maintenir, voire développer, des échanges sociaux et son "réseau" local.
Hors ligne
#27 15/01/2023 22h12
- swantonbomb
- Membre (2010)
Top 50 Dvpt perso. - Réputation : 91
Pendant les mois de confinement je ne me suis jamais senti aussi bien de ne plus avoir de relations sociales. Sans doute que je suis un I hardcore, mais si un jour je suis rentier vraiment le contact humain direct est la dernière des choses qui me manquera ou que je rechercherai.
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#28 16/01/2023 09h08
- zebulon77
- Membre (2014)
- Réputation : 13
Bonjour,
pour ma part, les premiers mois ont été un havre de paix. J’avais besoin de souffler après des années de salariat insatisfaisantes en terme de pression mentale.
Aujourd’hui, je me considère en mode semi-rentier. Mon expérience entrepreneuriale m’a beaucoup apporté sur le plan humain, même si elle ne m’occupe pas à temps complet.
Je suis allé voir du côté associatif, j’ai intégré un Lions Club il y a 3 ans qui m’a permis d’augmenter considérablement en qualité mon réseau social ici à Marseille où je vis. Cela m’a offert d’autres pistes de business (à temps maîtrisé, bien sûr !)
Ayant un faible pour l’écriture, je rédige aussi des articles web en B to B. Cela stimule intellectuellement et apporte aussi quelques revenus complémentaires bienvenus sans trop de pression.
Bref ma semi-retraite est plus qu’occupée !
je pense que toutes les expériences doivent être menées pour atteindre la paix intérieure et la sérénité. Rentier ou semi-rentier, l’important est d’être heureux dans sa vie !
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#29 16/01/2023 12h23
Sujet intéressant !
Personnellement j’ai extrêmement bien vécu cette transition d’un mode 100% (voire 150%) à un état actuel que je qualifierai de semi-rentier.
Mais je pense en partie pour quelques raisons spécifiques :
J’y pense (et agis pour) depuis très longtemps. Et surtout j’en parle à mes proches depuis très longtemps.
Je suis passé d’un 100% à un moins de 50% mais ce moins de 50% n’est pas linéaire (je fais des semaines à 70% ou d’autres à 20%) et j’ai une grande liberté sur mes horaires, c’est un avantage et inconvénient de travailler en indépendant.
Il y a 2 ans nous avons déménagé en passant d’un appartement à une maison avec grand jardin, bref un changement de région et de cadre de vie. Avec près de 2 ans de recul une maison ça prend pas mal de temps libre sans que l’on ne s’en rende compte mais j’aime ça !
J’ai plein de passions (sport notamment plusieurs fois par semaine), je n’ai plus la contrainte de trouver du temps pour « caser » une séance.
Plutôt du genre hyperactif, un accident quelques années auparavant m’avait forcé à ralentir très fortement pendant 6 mois. Ca a changé ma perspective sur beaucoup de choses et m’a appris à ralentir (et à l’apprécier), ce qui je pense est clé dans le passage à rentier ou semi-rentier.
INTJ, comme rappelé plus haut ça compte beaucoup, je peux passer des heures à analyser ou comprendre des choses diverses (récemment : les systèmes de chaudière et de chauffage car je vais devoir en changer, il y a 3 ans je ne savais pas ce qu’était une PAC ou une VMC), par pur plaisir ou challenge.
"Le côté obscur de la force, redouter tu dois"
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#30 17/01/2023 22h48
InvestisseurHeureux" a écrit :
julien a écrit :
Je vais au badminton 3 à 4 soirs par semaines (au lieu de 2 soirs avant). Et je reste parfois un peu après avec le petit groupe qui prolonge au club-house, alors qu’avant je ne le faisais jamais car crevé et "école le lendemain".
Quand je parlais des inconvénients à voyager une partie de l’année (cf. ma présentation), vous avez justement le fait de NE PAS pouvoir faire ce type d’activités associatives, qui facilitent et participent à un "enracinement" local.
Oui, j’avais lu. Et en vous lisant, j’avais pensé que ce n’était pas forcément incompatible à mon sens.
Vous savez, dans mon club de badminton, il y en a que l’on ne voit pas entre novembre et mars… En pratique, Ils trouvent juste qu’il fait trop froid dans le gymnase à cette période-là. Mais ils pourraient être en voyage, ce serait pareil…
De toute façon, pour 45 € d’adhésion annuelle, c’est rentabilisé en quelques séances. Au point que j’ai un moment eu l’idée de m’inscrire dans un club proche de chez mes parents, juste pour les 5 ou 6 semaines réparties sur l’année que je passe chez eux.
Donc ça ne fonctionne peut-être pas pour toutes les activités (sports collectifs ?), mais à mon sens il y en a forcément qui sont compatibles sans problème avec une présence à temps partiel dans sa région.
Dernière modification par julien (18/01/2023 13h09)
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#31 02/09/2024 10h30
- manuinorange
- Membre (2019)
- Réputation : 0
Bonjour à tous
Alors moi , mon arrêt d’activité s’approche à grand pas et est prévu pour la fin de l’année , après une longue réflexion de 5 ans
Pour rappel 42 ans , chef d’entreprise du bâtiment .
Je commence un peu à appréhender cet arrêt et je cherche un peu des idées d’occupation
Bon , je lâche pas totalement le pied , je continue à gérer une vingtaine de locations .
Au programme je pense : du sport (j’ai beaucoup de poids à perdre) , un peu plus de voyages ( mais plus pendant les vacances scolaires) , continuer mes recherches généalogiques .
je verrais bien comment ça se passe et au pire je réactive mon activité (complémentaire) d’expert immobilier
Dernière modification par manuinorange (02/09/2024 10h57)
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#32 02/09/2024 11h50
Bonjour,
Je profite de la remontée de ce fil pour donner quelques nouvelles. J’ai donc repris le boulot, c’est l’impasse car je n’arrive pas à me projeter ainsi jusqu’à la retraite…
Du coup ma conjointe s’est lancée, avec succès dans un 1er temps à la faveur de la période estivale (elle n’a pas fait mon erreur) ; au bout de 3 mois reprise à mi temps mais très contrariée car on l’a clairement mise au placard en valorisant sur son dos ses collègues qui passent pour des sauveurs alors qu’eux même étaient déjà à temps partiel également. Du coup l’ambiance est plus que tendue avec des menaces physiques (sans jamais de témoins) et les 2.5 jours de travail hebdomadaire paraissent durer une éternité !
Tout cela est bien compliqué, jamais je n’aurais cru que quelque chose d’aussi génial aboutisse à de telles désillusions.
Nous réfléchissons au montage d’une affaire pas trop prenante (surtout plus d’immobilier en direct par ex !) sans grand espoir d’aboutir à quoi que ce soit de viable.
Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*
Hors ligne
#33 02/09/2024 13h16
- Ares
- Membre (2019)
- Réputation : 29
Merci de relancer cette file,
C’est une question que je me pose aussi, à la base je partais sur un arrêt total. Je ne me projetais sur aucun projet rémunérateur en particulier…
Aujourd’hui l’idée est un peu différente.
Si on pense à la règle des 4%, on doit avoir 25x ses dépenses annuelles en investissement boursier (ETF world) pour ne plus avoir besoin de travailler et continuer de voir son patrimoine s’accroître en suivant l’inflation.
Mais… qu’est-ce qu’on fait après ?
Surtout si on est jeune..
Du coup, je pense plutôt à monter à 15 ou 20 fois mes dépenses pour commencer à changer un peu les choses. Travailler à mi-temps par exemple, ou bien essayer de monter mon entreprise.
Mais l’idée c’est quand même d’avoir plus de temps libre plus tôt (et en bonne santé…).
Par exemple pour pouvoir partir voyager 6 mois, et travailler 6 mois. Au final si on pioche seulement pendant 6 mois sur ses investissements, on a besoin de moitié moins pour être indépendant financièrement.
C’est le concept de barista fire en anglais.
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