#1 05/02/2020 09h53
- 77PourCent
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Je viens vers vous pour une étude de cas qui a du déjà être évoqué sur le forum, mais que j’aimerais abordé pour un projet a horizon fin 2020.
En effet depuis 2020, la loi de finances a modifié un aspect de l’abus de droit.
D’après ce que je comprend, avant l’objet ne devais pas être EXCLUSIVEMENT un but d’optimisation fiscale, et désormais l’optimisation fiscale ne doit pas être le MOTIF PRINCIPAL de la vente, dans mon cas.
Fiscalité : « La nouvelle notion de mini-abus de droit est trompeuse »
Qu’en pensez vous ?
Mon Cas:
je souhaite vendre a la SCI( dont je possède 50% via ma holding que je détiens a 100%) un bien immobilier que je possède depuis 2015.
Bien entendu au prix du marché ( 2 estimation d’agence + prix du marché local via patrim).
Holding et SCI créée en 2018.
Avis de mon EC: aucun problème tant que le prix est au marché.
Avis de mon notaire: aucun problème tant que le prix est au marché.
Cependant ma banque a des doutes suite a cette fameuse loi de finances 2019 qui modifie légèrement l’interprétation que l’on peu faire du texte.
Pour ma part les motivations de cette vente sont diverses:
1.Besoin de capital pour un projet d’investissement.
2.Recentrer notre patrimoine familial au sein de notre SCI afin de faciliter la transmission future a nos enfants.
3.La SCI a de la trésorerie investir et c’est un bon projet car il est limitrophe d’un autre bien dans la même résidence qui permettra a terme de faire un seul bien plus grand.
4.L’impôt n’est pas éluder, il est différé au sein de la SCI qui paieras de l’impôt quand l’argent sortiras.
Je précise que si je ne le vends pas a ma SCI je le vendrais sur le marché.
au plaisir d’echanger
Dernière modification par 77PourCent (05/02/2020 10h10)
Mots-clés : abus de doit, loi de finances 2019, vente a soi meme
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