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BIO-UV : système de désinfection de l'eau sans produit chimique

Bio-UV : analyse d'une société de traitement de l'eau, entre croissance et incertitudes

Cette discussion porte sur Bio-UV, une société cotée spécialisée dans les systèmes de désinfection de l'eau sans produits chimiques. Les membres analysent les performances de la société, débattent de son potentiel de croissance et pointent certaines zones d'ombre. Un des thèmes principaux concerne la croissance de Bio-UV, notamment grâce à des acquisitions comme celle de Corelec, qui a permis une expansion significative sur le marché des piscines. Les participants échangent sur les chiffres clés : le chiffre d'affaires, l'EBITDA et le PER, pour évaluer la valorisation de l'entreprise.

Plusieurs arguments divergents émergent quant à la performance de Bio-UV. Certains membres soulignent la forte croissance organique et le potentiel des marchés de la société dans le traitement de l'eau (eaux de ballast, piscines, eaux usées). D'autres mettent en avant les incertitudes liées à la communication financière jugée erratique par certains, ainsi que les risques liés à des litiges juridiques. La gestion du risque est donc un élément clé de la discussion, notamment concernant l'impact potentiel de la sécheresse sur les ventes liées aux piscines.

La discussion soulève également la question de la bonne gestion de la dette, suite au rachat de Corelec et l'impact de la cession de parts de l'actionnaire majoritaire, Benoît Gillmann. L'incertitude autour du prix d'acquisition de Corelec et l'importance de la dette nette sont des points de controverse. La transparence financière et la communication avec les investisseurs sont identifiées comme des points d'amélioration pour Bio-UV. La recherche de valeurs refuges et l'attrait croissant pour les entreprises du secteur de la transition écologique sont des tendances contextuelles mentionnées par les membres.

Enfin, la comparaison avec un concurrent, UV Germi, est abordée, permettant une analyse comparative des deux entreprises et de leurs perspectives. L'impact potentiel de la réglementation sur la réutilisation des eaux usées (REUSE) est également un point important, soulignant l'importance des enjeux environnementaux pour Bio-UV.


#26 25/02/2023 14h04

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2023 l’année de Bio-UV ?



Source

Je vous confirme que les Organisations professionnelles de l’agroalimentaire  ont été consultées cette semaine sur un décret ( délai de relecture 18h 😅), suite à un groupe de travail initié en Janvier 2023.

Des arrêtés d’application suivront rapidement.

Yvan

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#27 25/02/2023 19h14

Membre (2023)
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INTJ

Il va sans dire qu’une volonté politique en faveur du re-use,  qui est d’ailleurs déjà assez marquée dans les appels d’offres publics relatifs à l’eau usée ces dernières années ne peut qu’aller dans le sens du développement de la désinfection ultraviolet, sa combinaison avec une étape de filtration etant à ce jour parmi les procédés jugés les plus viables pour les collectivités de petite et moyenne taille.
Cela peut donc ouvrir de belles opportunités pour l’avenir.

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#28 25/02/2023 20h41

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Bio-UV semble effectivement très bien située sur la reuse, qui, par nécessité deviendra une priorité nationale. Son partenariat avec Veolia sur ce sujet peut-être très porteur.
A contrario, aujourd’hui, le CA de bio UV repose très largement sur le récréatif, à savoir l’eau des piscines. Et avec la sécheresse qui se dessine, je ne suis pas certain qu’on puisse les remplir cet été. L’impact pourrait être assez négatif sur ce point.
Les ratios de valorisations sont plutôt faibles (relativement à la croissance attendue), peut être du fait qu’elle est située davantage sur du récréatif très consommatrice d’eau et non sur la reuse. En tout cas pour le moment.

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#29 25/02/2023 22h30

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INTJ

Fitou59 a écrit :

A contrario, aujourd’hui, le CA de bio UV repose très largement sur le récréatif, à savoir l’eau des piscines. Et avec la sécheresse qui se dessine, je ne suis pas certain qu’on puisse les remplir cet été. L’impact pourrait être assez négatif sur ce point.

De manière générale les piscines enterrées sont rarement vidées (elles restent en eau tout l’hiver par exemple), la seule raison de les vider est i) lorsqu’il y a de gros travaux à faire sur le bassin lui-même (changer le liner par exemple), ou ii) lorsque la qualité de l’eau est tellement dégradée qu’il n’y a pas d’autre choix.
Et quand il fait très chaud les piscines nécessitent encore plus de traitements et de produits pour avoir une bonne qualité d’eau…


"Le côté obscur de la force, redouter tu dois"

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#30 26/02/2023 13h15

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Bonjour,
Avez-vous déjà fait une comparaison entre Bio-UV et UV Germi ?
Le business des entreprises semble être assez similaire en surface.


"Our performance doesn't come from what we buy or sell. It come from what we hold." Howard Marks

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#31 26/02/2023 20h07

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Il y avait un article dans investir la semaine dernière,  sur les sociétés actives dans le traitement de l’eau notamment.

Les sociétés UVgermi et BioUVgroup ont en commun le traitement des eaux par UV. La première a en plus des solutions de traitement de l’air et des surfaces, la seconde traite également les eaux usés par ozone et électrolyse de sel.
Les deux entreprises ont en commun de travailler avec Veolia.

En chiffres :

BioUV groupe
CA 2022 51,5M€
RN 4M€
PER 10,6
Capi 50,5M€

UV germi
CA 2022 7,2M€
RN 0,5M€
PER 15,4
Capi 10,6M€

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#32 26/02/2023 21h00

Membre (2019)
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L’article dont parle Loic38 est accessible sur le LinkedIn de Bio-UV.

Yvan

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1    #33 28/02/2023 18h03

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INTJ

Bio-UV a écrit :

BIO-UV Group, spécialiste des systèmes de traitement et de désinfection de l’eau par UV, ozone, électrolyse de sel et AOP (ci-après la « Société »), annonce avoir été informé par EURL BGH1, l’actionnaire majoritaire de BIO-UV Group détenu par son dirigeant fondateur Benoît Gillmann, de son intention de céder 1 395 962 actions BIO-UV Group (l’« Opération »), soit l’intégralité de sa participation représentant 13,49% du capital et 23,74% des droits de vote de la Société. La cession serait réalisée à un prix de 4,60 € par action.
Fort de ses 50 années de travail, dont plus de 22 ans dédiés au développement de BIO-UV Group, Benoit Gillmann souhaite désormais se consacrer à d’autres projets et à sa famille. La transmission de la direction de l’entreprise qu’il a fondée a été mûrement réfléchie et parfaitement organisée au cours des dernières années afin de garantir la poursuite de son développement rentable et durable.
[…]
En cas de succès du Placement, Laurent-Emmanuel Migeon deviendra Président - Directeur
général de la Société. Benoît Gillmann demeurera administrateur de la Société pour une durée
d’un an et pourra intervenir ponctuellement dans le développement de la Société sur demande
du Conseil d’administration dans le cadre d’une convention de prestation de services qui sera
conclue post réalisation du Placement.

Pour le suivi.
Réaction sans doute (très) négative à court terme vu la décôte envisagée de 10% pour l’ABB vs le dernier cours et surtout la cession de titres par le dirigeant (il ne pouvait pas attendre quelques mois le temps de passer la main à son #2 ?).
A moyen terme la communication financière sera peut-être moins erratique…


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#34 28/02/2023 18h48

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Une fois de plus il me semble que l’actionnaire n’est pas le soucis 1er de Bio-UV et c’est bien dommage.


Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*

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#35 01/03/2023 10h56

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C’est surtout un très mauvais signal. Si le dirigeant actionnaire avait confiance dans les perspectives de la boite, il garderait au moins une partie de ses actions. S’il a besoin de liquidités, n’importe quelle banque privée peut lui prêter avec ses titres en collatéral. Je trouvais le Pdg avec une approche très promotionnelle de la relation investisseur (ça n’a jamais empêche le succès d’une boite comme Thermador). On comprend mieux cette attitude s’il cherchait a vendre rapidement.

En théorie, je devrais vendre mes actions mais ma position est trop petite donc je la garde. Je suis très conscient de mes biais.

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#36 01/03/2023 15h24

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Au contraire, peut-être a t-il décidé de quitter son statut de dirigeant actionnaire pour protéger sa boîte. Avec une obligation de vendre avec un caractère d’urgence. Mais en ayant tout de même le temps de choisir son digne successeur, et de récupérer un capital retraite bien mérité.

Une maladie par exemple? Imaginez que le marché découvre que le PDG de BIO-UV n’est pas en pleine possession de ses moyens. Alors une vente après avoir placé son successeur serait un moindre mal.

Ceci n’est qu’une supputation. Mais Gillman aura 68 ans dans quelques mois…

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L'investissement, c'est ce que l'on fait de son temps et de son énergie

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#37 01/03/2023 17h11

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INTJ

Le problème est que Gillman vend tous ses titres, d’un seul bloc, immédiatement et sans prévenir, et après avoir passé son temps à expliquer ces dernières années que Bio-UV avait un potentiel de développement incroyable.
Cela envoie un très mauvais signal comme le mentionnait BullandBear et j’ai du mal à croire qu’il avait besoin de ces 6 M€ et quelques immédiatement (surtout à 67 ans).

Il aurait très bien pu quitter son statut de dirigeant en disant "à 67 ans j’ai choisi de prendre du recul, mon successeur est désigné depuis longtemps, il a toute ma confiance, blablabla" tout en disant qu’il gardait ses titres pour le moment mais qu’il ne s’interdisait pas d’en vendre à l’avenir en fonction de ses objectifs patrimoniaux ou de transmission.

Le nouveau PDG achète 0,3% du capital lors de cette opération (un peu plus de 140 K€) et s’est fait voter un plan d’actions gratuites portant sur 3% du capital soit 10 fois plus… la communication est très mal maîtrisée…

Ou alors Gillman s’est fait débarquer par son Board (qu’il est censé contrôler en étant 1er actionnaire) pour une raison que l’on ignore et ils habillent sa sortie ?


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1    #39 06/05/2023 18h57

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BIO UV : Réactivation du programme de rachat d’actions

Boursorama a écrit :

Au cours de sa dernière réunion du 28 avril 2023, le Conseil d’administration de BIO-UV Group (Euronext Growth ® - FR001334549 - ALTUV) , spécialiste des systèmes de traitement et de désinfection de l’eau par UV, ozone, électrolyse de sel et AOP, a décidé de mettre en œuvre un nouveau volet de rachat de ses propres actions, dans le cadre du programme adopté par l’Assemblée générale mixte du 25 mai 2022 (résolution n°8).

Quand je vois le parcours du titre depuis 3 ans, ça me fait mal au cœur pour les actionnaires.

Rappel des résultats 2022 :
Chiffre d’affaires en croissance de +53% dont +16% en organique
Progression soutenue de +77% de l’EBITDA à 7,0 M€
Multiplication par x4 du résultat d’exploitation à 4,1 M€
Proposition de distribution aux actionnaires de 0,06 € par action soit 1,6 % de rendement à ce jour.

Perspectives : Objectif de croissance rentable en 2023 : progression du chiffre d’affaires et nouvelle amélioration de la marge d’EBITDA en 2023

Encore une small cap qui se fait dézinguer sans que l’on ne sache vraiment pourquoi…
J’hésitais à rentrer l’année dernière, je suis finalement resté à l’écart. quand on voit des comportements de cours pareil, ça ne donne pas envie. Le management lui-même n’a pas l’air d’y croire, quasiment aucun achat d’initiés ces dernières années…


𝓛1𝓿𝓮𝓼𝓽𝓲𝓼𝓼𝓮𝓾𝓻. 𝒫𝒶𝓇𝓇𝒶𝒾𝓃 𝐵𝒾𝓉𝓅𝒶𝓃𝒹𝒶, 𝐵𝑜𝓊𝓇𝓈𝑜𝓇𝒶𝓂𝒶 (𝒸𝑜𝒹𝑒 𝒟𝒜𝐻𝐸𝟩𝟫𝟣𝟨), 𝐵𝒻𝑜𝓇𝐵𝒶𝓃𝓀 (𝒸𝑜𝒹𝑒 NG0K), 𝐼𝓃𝓉𝑒𝓇𝒶𝒸𝓉𝒾𝓋𝑒 𝐵𝓇𝑜𝓀𝑒𝓇𝓈 𝑒𝓉 𝒟𝑒𝑔𝒾𝓇𝑜

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#40 06/05/2023 19h17

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A titre personnel, étant en phase de constitution de portefeuille, je me moque completement de l’évolution du cours : la boite est rentable, en croissance,  distribue un dividende qu’on peut esperer croissant.
le parcours depuis 3 ans est au contraire une bonne nouvelle pour moi : cela m’a permis de rentrer dessus, et me permettra surement de me renforcer.
Je n’aime pas les valorisations hyper élevées, comme on a pu voir en novembre 2021, je pense notamment à Téléperformance, Sartorius. Le risque est trop grand pour moi de prendre une "porte de saloon".

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#41 07/05/2023 10h05

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L1vestisseur, le 06/05/2023 a écrit :

Encore une small cap qui se fait dézinguer sans que l’on ne sache vraiment pourquoi…
J’hésitais à rentrer l’année dernière, je suis finalement resté à l’écart. quand on voit des comportements de cours pareil, ça ne donne pas envie. Le management lui-même n’a pas l’air d’y croire, quasiment aucun achat d’initiés ces dernières années…

Oui en effet, le comportement du cours est inattendu quand l’entreprise délivre ces bon résultats et annonce encore une croissance rentable pour l’année à venir.
De surcroit, l’entreprise est positionné sur un secteur d’avenir qui est le traitement des eaux. Avec la sécheresse et les bas niveaux des nappes phréatiques, je suis même étonné qu’il n’y ait pas eu un phénomène de spéculation sur le secteur.
D’autant plus que l’entreprise va bénéficier des investissements sur le REUSE des eaux usées.

Pour rappel, le PDG historique a vendu ses parts cette année et le nouveau patron a racheté des actions pour prouver son implication ( à un niveau non négligeable pour ce type d’entreprise). La succession a bien été anticipé puisque le nouveau patron est dans la boutique depuis des années.

Est-ce que le trou d’air sur le mois dernier est une opportunité… l’avenir nous le dira

Bref, un dossier qui nécessite de la patience

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Dernière modification par FrenchFlair (07/05/2023 14h00)

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#42 07/05/2023 12h28

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Bio UV semble effectivement faiblement valorisé, et je trouve la boîte très intéressante, même si je ne suis pas encore positionné dessus.
Je considère que bio UV est sur du hardware, ce qui valorise beaucoup moins que le software.
De plus, le CA de la société est largement dépendante du secteur de la piscine. Et qui dit sécheresse dit probablement moins de piscine. Ce secteur est-il d’avenir ? Je pense que non (la tarification progressive de l’eau risque également de pénaliser le secteur).
Le positionnement sur la reuse est très intéressant. Mais pour le moment il ne génère presque pas de CA.
Malgré ces points noirs, la boîte valorise peu, notamment pour une boîte dite de croissance…

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2    #43 07/05/2023 13h59

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Je ne pense pas que l’on puisse faire des généralités sur la valorisation d’une entreprise en fonction du type de biens qu’elle produit. Certaine entreprise produisant des biens physiques et non software sont extrêmement bien valorisé (LVMH, Legrand Schneider, Danone…). Sur le long terme, la valorisation d’une entreprise (PER élevé ou bas) provient de l’appréciation du marché sur la capacité de l’entreprise à faire croître ses profits. Donc, il semble en effet que le marché a des doutes sur l’avenir de la piscine individuelle.

Au contraire du marché, je ne suis pas sur que la sécheresse et la canicule soit synonyme de la fin de l’ère de la piscine individuelle.
La piscine devient au contraire un élément presque vital pour pouvoir se rafraichir lors des étés de plus en plus chaud. Je ne suis pas sur que la clientèle aisée qui investit dans des piscines soit prête à cela. D’autant plus qu’une fois qu’une piscine est remplie, il n’y a à priori pas besoin de la re remplir entièrement. (juste le niveau quand l’eau s’évapore en été).
On peut la laisser remplie l’hiver. Un petit traitement au printemps permet de faire revenir l’eau plus claire sans avoir à renouveler entièrement l’eau.

Petite news prometteuse : une délégation chinoise est venue visité l’entreprise à Lunel fin avril.

Visite délégation chinoise

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#44 07/05/2023 15h02

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FrenchFlair, marci pour votre suivi.

Pour ceux qui ne sont pas abonnés à La Tribune, je donne l’adresse du même article, mais en lecture libre, sur le site de la société Bio-UV.

bio-uv.com/actualites/une-delegation-economique-chinoise-a-lunel-pour-quoi-faire

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#45 20/07/2023 11h18

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ISTJ

Bonjour,

Bio-UV a publié son CA S1 2023 et les chiffres sont mitigés. CA_S1-23_BioUV

On note un repli de 14% vs le S1-22 (comparable exigeant) et une légère hausse par rapport au S2-22.
Bio-UV tente une note d’optimisme avec un carnet de commande en progression et un objectif de CA supérieur pour le S2-23.

Après l’épisode du changement de management plus tôt dans l’année que j’ai trouvé "comique", je reste sur ma faim et je vais continuer de suivre l’entreprise, qui avait bénéficié d’un beau boom COVID.

Bonne journée,

Fabipm

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Parrain Fortuneo 13327120 / Bourse Direct 2019567552 / assurancevie.com FACA07674 /Alpiq ALP109-120-534 / Magnolia https://p.magnolia.fr/jM3YjQxNTg / Bourso https://bour.so/p/PeH8s2Xd8MK / Saxo https://refer.saxo/rmh63

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#47 17/11/2023 13h35

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Bonjour

J’ai bossé le dossier en vue de ma rencontre avec la direction la semaine prochaine.

Au delà du business, voici quelques points sensibles qui me semblent importants :

Bilan au 30/06/23 :


Pas un beau bilan :

- dettes de 6M€ à rembourser sous 1 an

- beaucoup d’intangibles : R&D (18M€ en valeur brute), et du goodwill, dont 22M€ pour l’acquisition de Corelec (Electrolyse des piscines au sel)

- un PGE de 3M€ souscrit post 30/06/23

- des obligations convertibles pour 3% du K à 4.75€ , échéance 09/2024

- gearing vers 1

- du hors bilan pour 6M€

Litiges :


Deux litiges sont en cours, avec Socom et Neptune Beson.
Je n’ai pas trouvé les montants en jeu, et pour Beson, une conciliation est en cours.

Quels impacts potentiels ? Je ne sais pas.

Management :


En point positif, le PDG M Migeon a pris 0.3% à 4.60€ sur des fonds personnels + dettes personnelles (lors de la sortie du fondateur)

Une démission sans explication du directeur de Corelec, qui était au conseil et aussi actionnaire de Bio-Uv à 0.5% du K. Pas de raison évoquée.

Avis :

Avec un tel bilan, je ne comprends pas la politique de versement des dividendes

Le PGE a du être contracté pour avoir la trésorerie nécessaire pour rembourser la dette de 6M€ sous 1 an ?

Je pense que Correlec a été rachetée un peu chère en 2021 (26.7 M€ pour un CA 11.9 M€), tout en haut du boom piscine.

La trésorerie me semble à surveiller, le PGE souscrit post 30/06/23 me montre.

Tout ca fait quelques questions à poser.

A suivre , (non actionnaire)


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#48 19/08/2024 11h09

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Aujourd’hui, nouvelle belle progression des actions  UV GERMI, et dans une moindre mesure, BIO-UV Group (par contagion certainement), à la Bourse de Paris.
Remontée entamée lundi 12 août dernier, en pleine torpeur estivale, pour UV GERMI.

Je ne trouve pas la nouvelle.

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#49 20/08/2024 22h24

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Certains acteurs de marchés pensent que la valeur peut bénéficier de l’épidémie de variole du singe.

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