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Portefeuille IH - Décembre 2015

04/12/2015 - 2790 € de dividendes bruts mensuels, 440 k€ de capital

79e mois de reporting (plus de six ans de transparence et partage) : l’objectif est l’obtention d’une rente mensuelle pérenne de deux SMIC nets, soit 2250 € après impôts et prélèvements sociaux ou environ 2830 € avant impôts et prélèvements sociaux. La stratégie patrimoniale pour y parvenir a été explicitée en filigrane sur les forums, et est décrite en détail dans mon livre.

(exceptionnellement, les montants ont été arrêtés le 4 décembre et non le 1er)

Dividendes d’actions cotées perçus

Après l’arrêt de mon activité principale en 2013 (Suis-je rentier ?), l’essentiel de mes revenus provient maintenant des dividendes de mes actions, dont sociétés immobilières cotées, et d’une TPE française dans laquelle je suis coactionnaire, dont l’actif principal est un site e-commerce.

Hors la TPE, le montant des dividendes reçus avant impôts et prélèvements sociaux, en base mensuelle, est d’environ 2790 € en novembre 2015.

Calendrier des dividendes :


(reporting généré par l’application xlsPortfolio)

Dépendance des dividendes :


(reporting généré par l’application xlsPortfolio)

On notera une forte dépendance, assumée, aux sociétés immobilières Cominar, VEREIT et CYS.

Performance

Bien que ne m’en préoccupant guère (la rente est générée par les dividendes, non par les plus-values boursières), dans la continuité des précédents reportings, je poursuis le suivi de la performance.

Le portefeuille Patrimoine perd 4,26% en novembre et s‘éloigne à nouveau de son plus haut d’avril 2015.

Evolution de la performance mensuelle sur les 79 mois de reporting :

Evolution de la valeur de la part :

Les dividendes sont intégrés nets d’imposition et prélèvements sociaux dans le calcul de la performance, quelque soit leur utilisation effective (consommation ou réinvestissement).

Le crédit d’impôt lié aux nombreuses actions étrangères détenues et l‘écart entre l’acompte éventuel vs l’imposition réelle (moins élevée) ne sont pas réintégrés, donc la performance effective est légèrement supérieure à celle indiquée.

Allocation stratégique

J’avais prévu d’arrêter mon activité principale à quarante ans, avec un capital de 600 k€.

Je l’ai stoppée à trente-quatre ans, avec un capital de “seulement” 450 k€ (aujourd’hui 440 k€), fruit de mon épargne et investissements (ni aide, ni héritage, je suis arrivé à Paris fin 1999 à vingt ans avec un BAC+2 et environ 1 k€ en poche – premier logement dans un foyer de jeunes travailleurs en banlieue, interminables transports en commun, travail acharné, reprise d‘études, etc.).

Aussi, l’allocation stratégique s‘écarte nettement de celle préconisée dans mon livre, en étant plus agressive (allocations obligataires et monétaires réduites à leur portion congrue) et plus concentrée (forte sensibilité aux devises étrangères et à l’immobilier canadien et américain) :

A ce capital s’ajoute ma participation dans une TPE française (cf. supra et infra) à la profitabilité modeste et pas nécessairement pérenne, compte tenu d’un environnement de plus en plus concurrentiel.

Livrets (≈0 k€)

La rentabilité des livrets est devenue extrêmement faible.

Ces 0 k€ correspondent à la trésorerie “boursière” en attente d’investissement, actuellement quasi nulle.

La trésorerie d’usage quotidien, disponible sur mes comptes courants, n’est pas comptabilisée dans ce reporting.

Fonds euros en assurance-vie (≈2 k€)

Mes fonds euros sont :

  • eurossima, détenu via un contrat d’assurance-vie Boursorama
  • Suravenir, détenu via un contrat d’assurance-vie Fortuneo

La seule chose qui m’empêche de tout liquider sont les montants minimaux requis pour ne pas avoir à clôturer l’assurance-vie et perdre les bénéfices liés à l’ancienneté.

Produits de taux (≈30 k€ d’une société de prêts hypothécaires)

Quoique cela soit discutable, mon investissement dans la société CYS peut être assimilé à un placement dans un fonds fermé obligataire avec effet de levier. En effet, CYS détient un portefeuille d’actifs constitué de prêts hypothécaires résidentiels titrisés garantis par l’Etat américain (cf. Sociétés de prêts hypothécaires).

Immobilier (≈263 k€ d’immobilier coté)

Mes investissements immobiliers le sont au travers de sociétés immobilières cotées en bourse (Real Estate Investment Trust), qui permettent une diversification géographique et typologique aisée (cf. Investir dans l’immobilier depuis chez soi) :


(graphique généré par l’application xlsPortfolio)

Dans le détail :

Ces foncières cotées sont détenues sur un compte-titres chez Binck.

Actions (≈438 k€ dont 263 k€ d’immobilier coté et 30 k€ d’une société de prêts hypothécaires)

Allocation sectorielle :


(graphique généré par l’application xlsPortfolio)

Allocation opérationnelle :


(reporting généré par l’application xlsPortfolio)

Ces actions sont détenues sur un compte-titres chez Binck.

Société non cotée

Je suis coactionnaire à 50% d’une TPE dont l’actif principal est un site e-commerce.

Cette participation n’est pas comptabilisée dans la performance ou l’allocation stratégique, mais relativise la surpondération patrimoniale en dollars américains et canadiens.

Commentaire de gestion

Rente mensuelle via les dividendes d’actions cotées

En base mensuelle, le montant des dividendes bruts perçu est d’approximativement 2790 €.

Les dividendes du mois de novembre ont été réinvestis sur le producteur de potasse canadien Potash Corp et la société de pipelines américaine Kinder Morgan.

Mécaniquement, la rente mensuelle aurait donc dû légèrement augmenter, mais elle est en baisse (2790 € vs 2830 € le mois dernier), du fait de la “forte” remontée de l’EUR/USD d’hier et de la coupe du dividende de la banque britannique Standard Chartered.

Plusieurs sociétés en portefeuille sont directement soumises aux aléas des prix des matières premières :

Par conséquent, si le cours de l’une ou l’autre de ses matières premières restait durablement “bas”, les profits et ipso facto, les dividendes, des sociétés en question seront nécessairement abaissés.

D’ailleurs, actuellement, les dividendes de BHP Billiton et Kinder Morgan (endettement trop élevé) me semblent intenables.

D’autres sociétés ont un taux de distribution relativement élevé qui supporterait mal une éventuelle réduction de leurs profits, même temporaire :

D’autres sociétés, au contraire, devraient voir leur dividende s’apprécier année après année :

Enfin, certaines sociétés ont naturellement des profits et un dividende volatile :

  • la société de prêt hypothécaire CYS

Dans leur ensemble, tout cela devrait plus ou moins se compenser et la rente devrait être relativement pérenne, quoique j’escompte continuer à diversifier celle-ci dans le futur.

Valorisation du capital

Les vicissitudes boursières ne me préoccupent guère, à long terme, seules la performance opérationnelle des sociétés et ipso facto, leur capacité à distribuer des dividendes, comptent.

Or, appréhendé dans son ensemble, j’ai peu d’inquiétude sur ce sujet compte tenus des sociétés présentes en portefeuille (cf. Caractéristiques des actions avec un dividende pérenne et supra).

Stratégie de gestion

Mon univers d’investissement est celui des grosses capitalisations boursières (au moins 10 Md€ pour les sociétés “classiques”, au moins 2 Md€ pour les foncières cotées), parmi les leaders sur leur marché, avec des avantages concurrentiels, profitables, et une politique de versement de dividendes attractive.

Comme indiqué dans un précédent reporting, puisque mon objectif de rente mensuelle de deux SMIC nets est atteint, je reviens progressivement à plus de diversification, afin de sécuriser ce revenu en évitant une dépendance trop forte à quelques sociétés et aux foncières cotées.

Ce mois-ci, j’ai réinvesti les dividendes perçus dans le producteur de potasse canadien Potash Corp et la société de pipelines américaine Kinder Morgan.

Réponses aux questions fréquentes

N’avez-vous pas peur de vivre en zone EUR tandis que votre “rente” est majoritairement en USD, CAD et GBP ?

Les dollars américains, canadiens ou la livre britannique ne sont pas le rouble russe, le réal brésilien ou je ne sais quelle devise d’un pays émergent.

Les Etats-Unis sont la première puissance économique et militaire du monde, le Canada est un pays bien géré avec des ressources pétrolières, Londres est la première place financière mondiale.

Si ces devises évoluent par rapport à l’euro, je ne m’attends pas à des variations extrêmes. Quand bien même elles auraient lieu, il n’est pas certain que cela soit en faveur de l’euro.

Votre rente mensuelle est bien faible, vous n‘êtes pas un vrai rentier !

Ma mère, après avoir travaillé près de quarante ans dans la fonction publique hospitalière touche 1730 € de retraite mensuelle, accompagné d’un mal de dos chronique d’avoir porté des malades pendant toutes ces années.

L’avenir des retraites en France me semble également bien incertain (incertitude sur la durée de cotisation, incertitude sur le montant des cotisations, incertitude sur le montant des pensions, incertitude sur la revalorisation des pensions…) et morose : cotiser toujours plus et toujours plus longtemps, pour toucher moins.

Aussi je trouve ma situation plutôt enviable : Suis-je rentier ?

La vie en Espagne (Valencia : super climat, bon marché et agréable à vivre), ou ailleurs, est aussi notoirement moins chère qu’en France.

N’avez-vous pas peur que les sociétés en portefeuille suppriment leurs dividendes ?

Mon portefeuille est essentiellement constitué de leaders mondiaux ou nationaux. Croyez-moi, si un jour la totalité des dividendes était coupée, c’est qu’il y aurait une telle crise économique mondialisée que nous aurions tous bien d’autres préoccupations.

Par contre, je m’efforce de réduire progressivement la dépendance aux sociétés immobilières Cominar, VEREIT et CYS.

N’avez-vous pas peur d’une hausse de la fiscalité ?

Si la fiscalité devenait insupportable, je peux m’expatrier définitivement au Portugal ou dans le pays approprié à ce moment-là.

Mais mes revenus sont modérés, et en réalité je suis nettement moins imposé maintenant que lorsque j’avais une activité à temps plein et payait environ 15 000 € d’impôts sur le revenu chaque année.

N’avez-vous pas peur ?..

Quand on réfléchit sereinement et avec recul, les risques apparaissent bien plus contenus qu’ils ne semblaient initialement. Cf. La peur de tout : Philippe, n’avez-vous pas peur que…

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14 commentaires

Commentaire
1) stephane
05/12/2015
Philippe, ne serait-il pas opportun de commencer à réduire votre exposition au $ ?
Commentaire
2) xavier
06/12/2015
Philippe,

Je profite de l'occasion pour vous remercier pour ce site qui est un lieu d'échange et d'apprentissage extraordinaire.

Je sais que vous vous focalisez sur les dividendes plutôt que sur l'évolution de la valeur de portefeuille. Mais tout de même une chose m'interpelle: vous aviez 450k au moment de l'arrêt de votre activité principale, vous avez si je ne fais pas d'erreur, réinvesti les dividendes perçus (30k bruts par an pendant 2 ans) et vous avez aujourd'hui 440k. Et ce alors que la dollar a connu une hausse significative sur la période (environ 20%) ce qui devrait impacter favorablement la valeur de votre portefeuille qui est pour plus de la moitié en USD.
J'ai en tête votre expérience définitivement malheureuse sur TESCO et pour le moment malheureuse sur ARCP/ VEREIT, mais je suis surpris que la hausse du dollar qui doit avoir un impact supérieur à 50k et l'accumulation des dividendes ne suffisent pas à maintenir la valeur MtM de votre portefeuille.
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3) Arnaud
06/12/2015
Bonjour Philippe,

Comme Xavier, je tiens à vous remercier pour ce site et le partage d'information que vous y faite.

Je me pose une question, vous réinvestissez vos dividendes. Comment assurez-vous donc votre train de vie dans ces conditions ?
Réponse de Philippe
Philippe
06/12/2015
@Stéphane
C'est prévu mais il est impossible d'arbitrer mes positions dans VEREIT et Cominar au cours actuel.

@Xavier
La valorisation du portefeuille est très volatile.
En avril 2015, il était valorisé presque 550 k€, donc votre lecture en aurait été différente.
La rente via les dividendes est normalement plus stable, nonobstant la suppression temporaire du dividende de VEREIT une partie de 2015.
Maintenant, mes choix d'investissement depuis 2014 n'ont pas été des plus heureux, je n'ai aucun souci à l'admettre. Mes investissements passés, plus diversifiés, et dans des sociétés moins risquées opérationnellement (Kellogg, etc.) et plus faciles à valoriser étaient plus judicieux.

@Arnaud
Je suis aussi actionnaire d'une TPE française, qui verse également des dividendes. Je consomme ceux-ci et réinvestis ceux de mon portefeuille d'actions (sauf le crédit d'impôt sur valeur étrangère qui est "consommé"). Les ventes de mes ebooks/feuilles Excel complètent modestement également.
Commentaire
5) Jean Philippe
07/12/2015
Bonsoir

J'aurais souhaiter avoir votre avis concernant un placement que je souhaite proposer a une amie qui a 65 ans aujourd'hui. Elle est en retraite et touche une petite retraite d'environ 1200 € par an.
Fort heureusement, elle dispose d'un bien sur Paris mais ne veut plus le louer car elle a eu beaucoup trop de tracas avec ses locataires et finalement une rentabilité faible.
Elle a mis en vente son bien et va recupérer 350 k€ prochainement.
J'aimerais lui proposer d'investir en bourse dans des financieres cotées mais aussi des aristocrates comme vous le decrivez.
Pourriez vous me donner quelques conseils

j'aimerais pouvoir l'aider

Jean Philippe
Commentaire
6) nik66
07/12/2015
Est-ce finalement le plus pertinent d'être aussi fortement investi sur l'Amérique du Nord ? Outre l'important risque monétaire, vous ne pouvez pas bénéficier de la fiscalité attractive du PEA. Est-ce que les dividendes versés outre Atlantique valent vraiment le coup du fait de ces deux handicaps ?
Commentaire
7) Shagrath
07/12/2015
nik66, quand vous êtes rentier "modeste" la fiscalité du CTO n'est pas vraiment un problème...
Commentaire
8) Francois
07/12/2015
Nik,

On n'a pas eu à se plaindre du risque monétaire pour l'instant. La hausse du $ par rapport à l'euro a jouer en notre faveur.
Ensuite la fiscalité attractive du pea ... La contrepartie du pea est que l'argent est bloqué, les actions sont limitées, on ne peut pas touché les dividendes tout de suite
Commentaire
9) nik66
07/12/2015
@François
Pas tout a fait d'accord quand même.
Quand votre PEA a 8 ans vous pouvez faire des retraits réguliers pouvant correspondre à des dividendes en ne payant que les prélèvements sociaux. C'est là où la note est la moins salée (impact certes limité si faible revenus comme le dit Shagrath mais je pense que nous sommes nombreux à être taxés).
Possible aussi d'investir sur de plus en plus de places financières via des supports nouveaux types trackers. On a ainsi au total une belle palette de titres sur lesquels on peut investir via un PEA. On peut en avoir deux pour un couple, ce qui laisse une belle marge d'action (2 x 150000€ + 2 x 75000€ de PEA-PME, soit un potentiel de versement de 450000€ maximum, soit la totalité du portefeuille de Philippe Proudhon).
Investir via le PEA c'est donc moins de frais, moins d'impôts et moins de risques monétaires que sur des titres américains.
Les cours EUR/$ sont une variable essentielle : elles peuvent vous coincer pour faire des arbitrages (que vous ne ferez pas à cause d'une mauvaise parité), vous faire perdre de grosses sommes si vous devez céder des titres (pour des raisons personnelles diverses) à un moment où le cours de l'euro n'est pas favorable et donc entrainer des pertes en capital.
Sincèrement je pense qu'il faut aller chercher de très gros dividendes et avec de la pérennité pour investir sur les marchés US. Sur des titres avec des rendements types Cominar ou SNH, d'accord, mais je vois beaucoup moins d'intérêt si c'est pour aller chercher un dividende à 3 ou 4%. Que doit-il en rester en net si on est sur une TMI à 30% ?
Franchement, il faut bien faire ses comptes et comparer avec des valeurs éligibles PEA dont le confort et la simplicité de gestion au quotidien sont bien appréciables.
Commentaire
10) Gap
08/12/2015
@ Philippe

Vous dites "Mes investissements passés, plus diversifiés, et dans des sociétés moins risquées opérationnellement (Kellogg, etc.) et plus faciles à valoriser étaient plus judicieux."
Alors, pourquoi s'entêter (si je puis me permettre) en allant sur Potash et Kinder Morgan qui sont des paris quand même assez osés ?

Cordialement
Réponse de Philippe
Philippe
08/12/2015
@Gap

Avec IBM ou Walmart, je suis revenu à des choses plus sages.

Mais en 2010 puis 2012, quand j'achetais Kellogg (revendu mi-2014), j'avais du 3,7% de rendement sur dividende, 14 fois les profits et un EUR/USD à 1,45 !

Maintenant Kellogg c'est un rendement sur dividende de 2,8%, 20 fois les profits et un EUR/USD à 1,10 !

Donc la qualité se paye très cher actuellement ! Et encore, Kellogg n'est pas la crème de la crème.

Sur L'Oréal on est 24 fois les profits...
Commentaire
12) Francois
08/12/2015
Cher Nik,

Je ne suis plus un débutant, t.oi aussi.
Nous savons très bien que :

- Quand on commences a retirer de l'argent sur un PEA on ne peut plus mettre de l'argent dessus
- Que les trackers indiciels ont des sociétés dont je ne veux pas etre actionnaires (Engie, EDF, ... ou d'autres sociétés trop bien valorisée : LVMH, L'oreal, Essilor )
- Qu'on choisit une société distribuant peu ou pas de dividende si on veut faire l’économie des impôts et taxes sur dividende.
- Que trop souvent les boites à gros dividendes sont des boites matures sur un secteur mature ou une boite avec des problèmes.
- Qu'il est préférable pour un actionnaire que sa boite rachète ses actions décotées plutôt que distribue un dividende.

Ce qui me gène surtout sur le PEA, c'est surtout que cela bride mon champ d'action. Je suis trop souvent réduit à un second choix.
Commentaire
13) Gagang
31/12/2015
En lisant les commentaires sur ce forum je me sens très modeste par rapport à ceux qui interviennent.
Mon portefeuille s'élève à environ 200 000 euro. Il m'aura rapporté en 2015 un peu plus de 15%, soit une surperformance par rapport au Cac et à l'inflation qui me satisfait. Je n'investis que sur de grosses caps et vise un dividende moyen de 3.25%.
Pendant l'année, alors que le marché galopait, j'ai sécurisé une partie importante de mes gains. mais à présent, alors que les incertitudes règnent, je me demande s'il faudrait être plus hardi ou si, au contraire, il faudrait faire un peu de liquidités ?
Les avis seraient les bienvenus.
Réponse de Philippe
Philippe
31/12/2015
@Gagang

200 k€ et 15% de performance 2015 c'est très bien, ne vous minimisez pas.

Les commentaires ne sont pas adaptés pour ce type d'échanges, participer plutôt aux forums !

Bon réveillon

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